Oppression and Liberty

Certains critiques du capitalisme, comme Frédéric Lordon3, voient dans la proposition de bicamérisme économique d’Isabelle Ferreras une goutte d’eau dans l’océan capitaliste structuré par la division entre travail et capital ainsi que le salariat qui en découle : les actionnaires et cadres dirigeants vont-ils vraiment accepter de déléguer leur pouv

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Ceci a été indiqué plus haut : c’est la dépossession du travailleur de son produit et de son travail lui-même par le biais de spécialisation fonctionnelle croissante et de savoirs technoscientifiques impossibles à coordonner et comprendre qui a rendu possible l’industrialisation, c’est-à-dire l’accumulation du capital. En raison même de cette hétér

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le pouvoir sans entraves que le capital a pris sur le travail, sur la société et sur la vie de tous tient précisément à ceci : que le « travail » – celui qu’on vous fait faire, non celui que vous faites – conserve dans la vie et dans la conscience de chacun sa centralité alors même qu’il est massivement éliminé, économisé et aboli à tous les niveau

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Capitalism, he noted, is not something imposed on us by some outside force. It only exists because every day we wake up and continue to produce it. If we woke up one morning and all collectively decided to produce something else, then we wouldn’t have capitalism anymore. This is the ultimate revolutionary question: what are the conditions that woul

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