Sublime
An inspiration engine for ideas
C’est où philosophie et journalisme se rejoignent. La vie commande qu’il faut penser comme on vit. Dans l’urgence. Dans l’ignorance. Dans l’incertitude et la fugacité de tout. Trop bref ? Trop rapide ? Vous devriez plutôt me savoir gré, sur un tel sujet, de n’avoir pas écrit un gros livre ennuyeux, qui eût été tout aussi discutable que ce petit art
... See moreAndré Comte-Sponville • Le Goût de vivre: et cent autres propos (French Edition)
Pour ma part, quoique la philosophie m’ait beaucoup aidé, je ne me considère pas comme un philosophe, mais comme un journaliste enquêtant sur la façon dont les gens appliquent ces idées antiques à la vie moderne.
Jules Evans • La philo, c'est la vie ! (Poche) (French Edition)
jewish philosophy
Sarah Pollock • 1 card
On peut ne pas souscrire à cette façon très universitaire de définir une discipline qui, du temps où elle n’était pas confisquée par les curés du christianisme, les curés de l’université, les curés de l’idéalisme allemand, les curés de la French theory, était l’occasion d’une conversion existentielle en vue d’une ascèse visible dans la vie concrète
... See moreMichel Onfray • Vivre une vie philosophique (French Edition)

Philosophy
Anna B • 2 cards
Also by Richard P. Feynman The Character of Physical Law Elementary Particles and the Laws of Physics: The 1986 Dirac Memorial Lectures (with Steven Weinberg) Feynman Lectures on Computation (edited by Anthony J. G. Hey and Robin Allen) Feynman Lectures on Gravitation (with Fernando B. Morinigo and William G. Wagner; edited by Brian Hatfield) The F
... See moreRobert B. Leighton • Six Easy Pieces: Essentials of Physics Explained by Its Most Brilliant Teacher
Pour les Grecs anciens, l’éthique – l’étude de l’art de la vie – était intriquée aux sciences physiques, à l’exploration de la nature de l’univers. On ne peut séparer les questions éthiques des questions scientifiques sur la nature de l’univers dans lequel on se trouve.
Jules Evans • La philo, c'est la vie ! (Poche) (French Edition)
Le premier a besoin de sa philosophie, soit comme soutien, tranquillisation, médicament, soit comme moyen de salut et d’édification, soit encore pour arriver à l’oubli de soi ; chez le second la philosophie n’est qu’un bel objet de luxe, dans le meilleur des cas la volupté d’une reconnaissance triomphante qui finit par éprouver le besoin de s’inscr
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