Sublime
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« Libre comme un élément, égal aux plus pauvres, aux plus riches, toujours en paix avec lui-même et l'univers – et c'est un fou », songeait Richard. Les yeux brûlants de Gérardine qui ne connaissaient jamais de répit se posèrent sur lui et brusquement, comme il l'avait fait autrefois dans les allées du Luxembourg ou sur le boulevard Saint-Michel, G
... See moreJoseph Kessel • Le tour du malheur (Tome 2) - Les lauriers roses - L'homme de plâtre (French Edition)
C’est vrai qu’avec des gens comme Truffaut, Pialat, Bertolucci, Monicelli, j’ai connu une autre époque. Je ne m’en rendais pas compte quand je la vivais, je ne l’aimais pas particulièrement, mais maintenant je réalise combien elle pouvait être intéressante. Par bien des côtés, le cinéma était encore un art mineur, avec toute l’insouciance que cela
... See moreGérard DEPARDIEU • Innocent (French Edition)
Riccardo Busetti
@iambriccardo
Avec Jean, j’en ai appris des choses… À table, surtout. Moi qui ai toujours goûté à tout et jamais en petite quantité, là, j’étais servi. Ça commençait vers onze heures le matin, et c’était entrée, poisson, gibier, fromage, dessert. Et tout ça arrosé de bourgogne. Avant de commencer à tourner en tout début d’après-midi. Jean était un ours, et comme
Gérard DEPARDIEU • Innocent (French Edition)
La France aujourd’hui, on en parle plus. Je le vois bien quand je suis à l’étranger. Elle ne résonne plus, elle n’existe plus. Si on n’y prend pas garde, elle va bientôt finir par devenir une sorte de grand parc d’attractions, un Disneyland pour les étrangers.
Gérard DEPARDIEU • Innocent (French Edition)
gifting2
@wdiuhiuweh8h7w
Renan
@renan
Le jeune Pierre Niney qui reçoit le César du meilleur acteur pour son interprétation d’Yves Saint Laurent remercie la « bienveillance profonde » des votants, « cette bienveillance tellement importante pour jouer », cette « bienveillance nécessaire ». Depuis quand le cinéma doit-il être bienveillant ? Le cinéma n’est pas bienveillant, le cinéma ne d
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