Sublime

Si on en revient à l’organisation des études, nous souhaitons la liberté des parcours de formation…, mais nous apprécions aussi l’égalité et nous pensons qu’un socle de connaissances commun est nécessaire pour la compréhension mutuelle. Aussi, même si en principe chacun choisit ses matières de perfectionnement, nous avons fixé quelques fondamentaux

La vie privée n’a peut-être plus de sens ici ? Ces déguisements, ces sectes, ces drogues, ce ne sont que des soupapes de sécurité. Tant que la Caisse n’est pas menacée, elle les laisse s’agiter dans tous les sens, comme de petits poissons excités dans leur aquarium qui se croient libres sous l’œil du maître tout-puissant. Le visage moderne du total

L’école ou la faculté ne me sont jamais apparues comme des lieux d’apprentissage ou d’épanouissement mais plutôt comme des centres de tri chargés de remplir, selon la demande, usines et bureaux.

Je lui explique le système des pays occidentaux, avec des études organisées par année, et non par niveau et par matière. Il trouve que c’est débile, si quelqu’un aime les maths ou la cuisine, il doit pouvoir progresser à fond dans ces matières. Et il ne voit pas pourquoi on l’empêcherait de passer au niveau supérieur, sous prétexte qu’il n’aime pas

INNOVER POUR TOUS OU FORMER UNE ÉLITE ? Peut-on passer à l’échelle supérieure et ne pas se contenter d’expériences éparses ? Les pédagogues du début du XXe siècle ont tenté de le faire, au lendemain de la Première Guerre mondiale, comme le raconte un autre film incontournable, le documentaire Révolution école (2016) de Joanna Grudzinska

C’est par le fait de tout ramener à des catégories économiques que le capitalisme est un antihumanisme.