Plaidoyer pour le bonheur (French Edition)

Des études montrent que lorsqu’on poursuit des « objectifs compatissants », visant à aider autrui et à contribuer à créer un monde meilleur, on a moins de chances d’avoir des symptômes d’anxiété et de dépression que quand on se focalise sur l’amélioration ou la protection de son statut ou sa réputation.

toutes sortes d’exercices sont nécessaires, notamment la méditation intense des dogmes fondamentaux, la prise de conscience toujours renouvelée de la finitude de la vie, l’examen de conscience, surtout une certaine attitude à l’égard du temps. Stoïciens et épicuriens recommandent en effet de vivre dans le présent, sans se laisser troubler par le pa

Tout cela est exact mais combiné à eu le sens s’oriente vers celui de “bonne fortune”, et donc l’eudémonisme évoque généralement le “bien-être”, le “bonheur”, l’“épanouissement”. Ces trois termes sont-ils synonymes ? Ils le paraissent au premier abord mais, en fait, innombrables sont les philosophes qui ont débattu des nuances qu’il pouvait y avoir

« Quand le bonheur égoïste est le seul but de la vie, la vie est bientôt sans but1I, écrivait Romain Rolland.