Les amies de Place Blanche by Christer Strömholm – review
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Les amies de Place Blanche by Christer Strömholm – review
Depuis que nous sommes partis de chez nous, j’aime encore plus Ady1, dit Gödrös. Les autres peuvent être des types mièvres et veules, mais lui, il traite certainement les filles comme les mots. S’il en a envie, il les baise, et celle qui sort de ses mains ne ressemble certainement plus à ce qu’elle était la veille… On m’a dit qu’il avait la vérole.
With her rhetoric of “image poverty” and blind people seizing the means of production, Fleet strikes me as a kind of Marxist of visual access—a revolutionary advocating for the blind proletariat who are not only plagued by material poverty but also exiled from the ubiquitous flow of visual capital.