L'amie prodigieuse (Tome 4) - L'enfant perdue: Maturité, vieillesse (French Edition)
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L'amie prodigieuse (Tome 4) - L'enfant perdue: Maturité, vieillesse (French Edition)
l’amour finissait seulement lorsqu’on était capable de reprendre ses esprits sans crainte ni dégoût,
Tout ce qu’elle faisait, en bien ou en mal (sa façon de réagir à la grossesse, ce qui se passait avec Michele et comment elle l’avait soumis, ou sa manière de s’imposer dans le quartier), était beaucoup plus intense que ce que nous faisions, et c’est pour cela que son temps semblait s’écouler au ralenti.
vrac de sang, de chair, de paroles, de merde et de petites idées ! Elle se moqua longuement de moi autour de ce thème : Je défais le ruban « Elena Greco » et le petit sac reste là, il fonctionne quand même, au hasard naturellement, sans mérites ni démérites, jusqu’à ce qu’il se rompe.
Eh bien, que d’histoires, pour un nom ! Connu ou pas, ce n’est qu’un ruban entourant un petit sac rempli en
C’était comme si, à partir du moment où j’aimais Nino et où il m’aimait, cet amour transformait tout ce qui m’arrivait et m’arriverait de beau en un agréable effet secondaire, rien d’autre.
me donna l’impression que toutes mes digues s’étaient rompues et que je pouvais me répandre.
J’expliquai que j’avais toujours cherché à m’imposer grâce à une intelligence masculine – « je me suis sentie inventée par les hommes et colonisée par leur imagination », ainsi
Qu’est-ce que je fais ici ? Pourquoi je perds mon temps comme ça ? Les filles et Naples m’ont dévorée vive. Je ne travaille pas, je n’écris pas, j’ai perdu toute discipline !
Contrairement aux récits, la vraie vie, une fois passée, tend non pas vers la clarté mais vers l’obscurité.