L'amie prodigieuse (Tome 4) - L'enfant perdue: Maturité, vieillesse (French Edition)
Elena Ferranteamazon.com
L'amie prodigieuse (Tome 4) - L'enfant perdue: Maturité, vieillesse (French Edition)
vrac de sang, de chair, de paroles, de merde et de petites idées ! Elle se moqua longuement de moi autour de ce thème : Je défais le ruban « Elena Greco » et le petit sac reste là, il fonctionne quand même, au hasard naturellement, sans mérites ni démérites, jusqu’à ce qu’il se rompe.
Qu’est-ce que je fais ici ? Pourquoi je perds mon temps comme ça ? Les filles et Naples m’ont dévorée vive. Je ne travaille pas, je n’écris pas, j’ai perdu toute discipline !
Contrairement aux récits, la vraie vie, une fois passée, tend non pas vers la clarté mais vers l’obscurité.
Et puis il a la pire des méchancetés, celle des gens superficiels. »
Eh bien, que d’histoires, pour un nom ! Connu ou pas, ce n’est qu’un ruban entourant un petit sac rempli en
Tout ce qu’elle faisait, en bien ou en mal (sa façon de réagir à la grossesse, ce qui se passait avec Michele et comment elle l’avait soumis, ou sa manière de s’imposer dans le quartier), était beaucoup plus intense que ce que nous faisions, et c’est pour cela que son temps semblait s’écouler au ralenti.
J’expliquai que j’avais toujours cherché à m’imposer grâce à une intelligence masculine – « je me suis sentie inventée par les hommes et colonisée par leur imagination », ainsi
C’était comme si, à partir du moment où j’aimais Nino et où il m’aimait, cet amour transformait tout ce qui m’arrivait et m’arriverait de beau en un agréable effet secondaire, rien d’autre.
l’amour finissait seulement lorsqu’on était capable de reprendre ses esprits sans crainte ni dégoût,