Sublime
An inspiration engine for ideas
he’s left in the insanity of denying the bedrock of human existence. Property and mastery: nothing else counts. Earth will be monetized until all trees grow in straight lines, three people own all seven continents, and every large organism is bred to be slaughtered.
Richard Powers • The Overstory: A Novel
The natural world is the rock on which these stories are built, and its overbearing presence informs every sentence.
Ann Patchett • These Precious Days: Essays
De toute façon, pour ce presbytérien amoureux de tous les êtres vivants, la guerre est le plus ignoble des blasphèmes. Pendant deux ans, il travaille ici ou là, il herborise autour des Grands Lacs, et rentre après que tout le monde se soit calmé. Que faire de sa vie ? Il convient de s’établir, il rêve d’exploration botanique, mais trouve un emploi
... See moreAlexis Jenni • J'aurais pu devenir millionnaire, j'ai choisi d'être vagabond (French Edition)
Harpers.
A. Scott Berg • Max Perkins: Editor of Genius

George Saunders
Myq Kaplan • 1 card
Quand au soir de sa vie Muir raconte son enfance avec gourmandise, on imagine sa plume gambader, son œil bleu étinceler de malice au moment d’écrire tel ou tel souvenir, et un sourire affleurer dans sa barbe, abondante, mais qui ne savait guère dissimuler ses émotions, ses états d’esprit, cette lucidité amusée qu’il mettait en toutes choses. Il en
... See moreAlexis Jenni • J'aurais pu devenir millionnaire, j'ai choisi d'être vagabond (French Edition)
In a prime spot just across the yellow-tape road from the lemon trees, he tended his own dark grove of bookshelves, and beside them a field of legal boxes, which held thousands of menus from restaurants famous and obscure. Whenever I passed Horace’s collection, there was someone flipping through the menus with the furious intensity of a DJ digging
... See moreRobin Sloan • Sourdough
Paul faisait partie pour moi de ceux-là, le petit groupe essentiel de ceux avec qui on fait la traversée, et sa mort a été le premier grand deuil de ma vie jusqu’alors étonnamment préservée sous ce rapport. Le premier roman que j’ai écrit, c’est à lui que je l’ai envoyé, et à lui seul, sans le connaître, parce que P.O.L était l’éditeur de Georges P
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