Sublime

The essence of politics can be subsumed in the question: what are individuals capable of when they meet, organize, think and take decisions?

Certains de nos penseurs les plus brillants, William Godwin, Proudhon, Kropotkine, Oscar Wilde, Tolstoï, Gandhi étaient anarchistes. Tous avaient vu les faiblesses de grands gouvernements centralisés et se mirent à imaginer des alternatives basées sur la liberté individuelle et un système fédéral d’autogouvernement.

Bruno pouvait apparaître comme un individu, mais d'un autre point de vue il n'était que l'élément passif du déploiement d'un mouvement historique. Ses motivations, ses valeurs, ses désirs : rien de tout cela ne le distinguait, si peu que ce soit, de ses contemporains.

L’anarchie, cela veut dire que des individus passent des accords entre eux et non avec l’État. Elle présuppose que les gens sont bons et qu’on devrait leur ficher la paix, contrairement à la vision puritaine selon laquelle nous serions tous mauvais et aurions donc tous besoin d’être contrôlés par une autorité.

Dans les années 1980 et jusqu’au milieu des années 1990, la réflexion d’André Gorz s’organise autour de l’opposition hétéronomie/autonomie reprise d’Illich qui est mise en correspondance avec celle de nécessité/liberté chez Marx, nécessité au premier chef, inhérente à la condition humaine, de produire sa subsistance, de gérer ce faisant ses relatio

modern-day eugenics enrolls each of us in its blood-soaked imagination—asking us to shoulder social problems, inviting us to purchase an illusion of safety, making any demand for robust public investment in the goods, services, and infrastructure required for everyone to live well appear unimaginable.

Instead the story tells us that our agency is limited to choosing between options someone else provides.

L’individu souverain, conscient et attentif à sa conscience est la force qui empêche le groupe, en tant que structure nécessaire guidant les relations sociales normatives, de s’aveugler et de devenir mortel.