Sublime

Il faut réformer les aides humanitaires. Les gigantesques moyens alloués pour les situations d’urgence (désastres, inondations, famines) sont non seulement en grande partie gaspillés en passant par des administrations corrompues, mais surtout sont sans commune mesure avec ceux, insignifiants, destinés à la sauvegarde et au développement de l’agro-f

Trêve d’hypocrisie : ce que tout le monde appelle “éducation” est une machine à fabriquer des soldats de la pseudo-économie, et non de futurs êtres humains accomplis, capables de penser, de critiquer, de créer, de maîtriser et de gérer leurs émotions, ainsi que de ce que nous appelons spiritualité ; “éduquer” peut alors se résumer à déformer pour f

Trêve d’hypocrisie : ce que tout le monde appelle “éducation” est une machine à fabriquer des soldats de la pseudo-économie, et non de futurs êtres humains accomplis, capables de penser, de critiquer, de créer, de maîtriser et de gérer leurs émotions, ainsi que de ce que nous appelons spiritualité ; “éduquer” peut alors se résumer à déformer pour f

L’école moderne a remplacé notre cœur et notre intuition dans la définition de notre destin, de notre identité, et nous n’avons pas gagné au change. Nous avons laissé quelque chose d’extérieur nous définir, alors que cette prérogative sacrée ne pouvait venir que de l’intérieur de nous-mêmes. Et laisser l’extérieur nous définir, c’est une aliénation

Cette nouvelle économie embrasse le micro-crédit (qui n’a de sens que s’il reste fidèle à sa visée originelle et n’est pas parasité par le profit bancaire), le commerce équitable qui favorise les petits producteurs de café, de cacao et autres produits d’exportation en maintenant des prix d’achat qui ne subissent pas les baisses brutales du marché,

Alexandre Melnik, né à Moscou, est professeur associé de géopolitique et responsable académique à ICN Business School Nancy-Metz. Il est aussi conférencier international sur les enjeux clés de la globalisation du XXI siècle, intervenant devant divers publics (universités, think-tanks, institutions d’État, entreprises) un peu partout dans le monde :

les écrits de Herbert Spencer, l’homme qui a marqué de l’empreinte de son génie tout le champ de la recherche scientifique et de la pensée modernes, le père de la psychologie, l’homme qui a révolutionné la pédagogie, au point que le fils du paysan français apprend à lire, à écrire et à compter selon les principes qu’il a énoncés.