Sublime

Musk, lui, croit pour construire ses fusées en la méthode de « l’échec accéléré ». Prendre des risques. Apprendre en faisant tout péter. Revoir sa copie. Réparer. « On ne veut pas concevoir des engins qui visent à éliminer tous les risques, dit-il. Sinon on n’irait jamais nulle part. »

Musk calculated that on a good day he made a hundred command decisions as he walked the floor. “At least twenty percent are going to be wrong, and we’re going to alter them later,” he said. “But if I don’t make decisions, we die.”

Human civilization, he felt, will soon strain the resources of our small planet. That will confront us with a choice: accept static growth or expand to places beyond Earth. “I don’t think stasis is compatible with liberty,” he says. “We can fix that problem in exactly one way: by moving out into the solar system.”

D’accord, et comment ça peut devenir un business ? » lui demande-t-il. Plus tard, Hoffman se rendra compte que Musk ne pense pas en ces termes. « Ce que je n’ai pas mesuré, c’est qu’Elon commence par une mission et ensuite il trouve un moyen de combler les vides pour que ça marche financièrement. C’est ce qui en fait une force de la nature. »