Sublime

Spinoza’s claim that all things are in God, a doctrine now known as panentheism, undercut this anthropomorphic theology and challenged the crudely moralistic view of the human good that was based upon it.

When we worship God, he explained, we are really worshipping the perfection of humanity.

Il ne croit pas à ce qu’il envisage comme la représentation enfantine du Dieu auquel ses semblables rendent un culte, mais il pense Dieu comme un être infini, véritable principe de raison et modèle de vie bonne. En cela, il ne se considère pas du tout comme athée, entendu au sens de celui qui n’a aucune pensée de Dieu, ni principes de vie qui en dé

Il était universaliste. Il espérait une disparition des religions traditionnelles au fur et à mesure que les hommes se voueraient plus nombreux à une exhaustive compréhension du cosmos. Nous avons abordé ce sujet il y a quelques années. Spinoza est le rationaliste par excellence. Il voit dans le monde un courant ininterrompu de causalités.

Au XVIIe siècle, un philosophe juif, Spinoza,

Sa religiosité est une spiritualité toute personnelle, qui se construit par les seules forces de sa raison. Nous verrons qu’elle revêt des aspects qui confinent à une certaine forme de mystique naturelle immanente, mais jamais on ne pourra affirmer que Spinoza est un homme religieux. Il fut toujours, au péril de sa vie, un homme libre de toute croy

passionnés. Spinoza a l’ambition de démontrer, de manière quasi objective, l’intelligence et l’harmonie profondes qui unissent tout le réel. Partant de Dieu, défini comme la substance unique de ce qui est, il entend montrer que tout a une cause – de l’ordre cosmique au désordre de nos passions – et que tout s’explique par les lois universelles de l