Un plan d’investissement européen beaucoup plus puissant que l’actuel « plan Juncker », c’est-à-dire comportant des subventions, et pas principalement des prêts ou des garanties, doit être mis en place au plus vite. Ce plan doit financer les investissements nécessaires à l’équipement en fibre, aux énergies renouvelables et aux interconnections et t

Il est donc temps de donner aujourd’hui à l’ensemble des partenaires économiques une impulsion politique forte, le signal d’une grande mobilisation nationale au service des technologies vertes. Et il faut veiller à ne pas faire l’impasse sur ce moment décisif. Au tournant des années 2000, nous avons manqué le virage des nouvelles technologies de l’

Parallèlement, nous devons conforter la dynamique de la centaine de villes moyennes qui constituent l’armature de notre pays. En particulier les centres-ville de ces communes. On sait en effet que, faute d’avoir pensé un urbanisme commercial à la bonne échelle, on a laissé se constituer dans leur périphérie des centres commerciaux trop importants.

Des centaines de structures subsistent qui devaient disparaître. Des agents s’occupent de tâches inutiles. La règle envahit tout, parce qu’il est plus commode d’écrire une loi ou un décret que d’indiquer une direction. Les fonctionnaires y trouvent une raison d’être et les politiques une occasion de justifier leurs privilèges. Le statut pris en lui

Le deuxième domaine prioritaire pour l’investissement public, c’est la transition écologique.

Nos grands défis contemporains sont mondiaux : le terrorisme, les migrations, etc. Et bien entendu, nous partageons la même planète, ce qui doit nous amener à travailler ensemble pour préserver la biodiversité ou pour répondre au dérèglement climatique. Car les transformations en cours auront des conséquences directes sur nous et nos enfants. Elles

Loin d’être contradictoires, l’impératif économique et l’impératif écologique seront, dans l’avenir, de plus en plus complémentaires. Tout le monde connaît l’aventure de Solar

Nos régimes de retraite et notre assurance chômage sont emblématiques, l’un et l’autre, d’un système qui a été construit pour un monde où un salarié – un homme – passait toute sa vie dans la même entreprise.

L’idée que je me fais de la démocratie, ce ne sont pas des citoyens passifs qui délèguent à leurs responsables politiques la gestion de la nation. Une démocratie saine et moderne, c’est un régime composé de citoyens actifs, qui prennent leur part dans la transformation du pays.