L'art d'être libre: Dans un monde absurde (LIENS QUI LIBER) (French Edition)

L’industrialisation est le procédé qui réduit l’existence en menus morceaux pour la transformer en de multiples industries lucratives. On pourrait citer également l’industrie des communications (on paie pour parler), de l’énergie (on paie pour du vent), l’industrie alimentaire (on paie pour ce que la nature nous fournit gratuitement), le divertisse

accordez-vous de larges plages entre vos rendez-vous, de larges plages dans votre vie, parce que la vie se passe dans ces espaces. Et si les choses vont de travers, dites-vous que c’est formidable.

non seulement la société a séparé l’homme des autres hommes, selon le mot de Wordsworth, mais elle a également créé une division dans l’homme. Nous sommes radicalement seuls à l’intérieur de nous-mêmes. Nous nous sommes expulsés en dehors de nous-mêmes.

Nous nous ennuyons à gagner de l’argent qui sera dépensé plus tard à essayer de nous désennuyer. Je songe à cette mode actuelle et absurde appelée « sports extrêmes ». Afin de nous sentir vivants, parce que la plus grande partie de l’année nous nous sentons morts, nous nous jetons une fois tous les trimestres du haut d’un pont. Se jeter d’un pont,

Pour Burton, vouloir plus d’argent est en soi asservissant ; il a écrit au sujet des marchands : « Des imbéciles, des benêts, des insensés, de pauvres hères qui vivent à côté de leurs chausses, qui ne ressentent aucun plaisir, en perpétuel esclavage, éprouvant toujours de la peur, de la suspicion, de la tristesse et du mécontentement ; pour eux, c’

Nous sommes de toute façon censés être endettés. La dette fait tourner le monde. Pourtant, oui, être endetté peut donner le sentiment de porter des bottes de plomb. C’est un obstacle à la réalisation de nos rêves. Une servitude. Nous faisons du remboursement de notre dette une priorité et nous reportons ce qui nous tient vraiment à cœur. Ainsi, nou

La liberté n’est pas celle d’empiéter sur les plaisirs des autres. On a le droit de profiter de la vie et de créer sa propre vie, et il faut aussi accorder ce droit aux autres.

La mesure du temps nous pèse, nous enjoint de nous dépêcher, d’en faire plus, d’être organisés. La pendule est une sermonneuse qui nous bouscule à coups de tic-tac. Alors, comment se libérer de son emprise ? Une réponse simple est de déplanifier. J’ai tendance à concentrer trop de choses dans une journée, ce qui s’avère toujours une erreur. Soyez r

C’est de la folie tout ce que les gens jettent. La frugalité vous permet d’échapper à la culture de consommation et de remplacer le travail-épargne-dépense par la création.