
Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)

Un génie n’est rien s’il ne nous élève pas si haut et ne nous rend pas si libres que nous n’ayons plus besoin de lui.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
n’écrit-on pas précisément des livres pour dissimuler ce qu’on cache en soi ?
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Même le plus courageux d’entre nous a rarement le courage d’assumer tout ce qu’il sait.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Les convictions sont des ennemies de la vérité plus dangereuses que les mensonges.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Par rapport à la musique, toute communication par des mots est éhontée. Le mot amoindrit et abêtit : le mot dépersonnalise, le mot rend commun ce qui est rare.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
On est tenté de diviser l’humanité en une minorité d’hommes qui savent faire de peu beaucoup et une majorité de ceux qui savent faire de beaucoup fort peu ; bien mieux, on tombe sur des maîtres en sorcellerie à rebours qui, au lieu de créer de rien le monde, créent du monde un rien.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Si nous disons « Oui ! » à un seul instant, par là même nous disons « Oui ! », non seulement à nous-mêmes, mais à toute l’existence. Car rien n’existe pour soi seul, ni en nous, ni dans les choses,
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Le plus petit bonheur, s’il est toujours présent et nous rend heureux, vaut mieux, sans comparaison possible, que le plus grand bonheur qui se réduit à un épisode.
Friedrich Nietzsche • Il faut vivre dangereusement - Une pensée par jour (French Edition)
Si le grand penseur méprise les hommes, c’est leur paresse qu’il méprise, car c’est elle qui leur donne l’allure indifférente des marchandises fabriquées en série, indignes de commerce et d’enseignement.